What Good Marathons and Bad Investments Have in Common

Sometimes we make bad economic decisions because we’re straining to avoid the pain of a loss.

0422-ups-marthon-945-1Cet article (en anglais) est intéressant surtout pour le graphique qu’il présente. En analysant les temps réalisés par plus de 9 millions de marathoniens, on s’attendrait à trouver une courbe de distribution normale (bell curve) presque parfaite. On se rend plutôt compte qu’il y a des pointes évidentes dans la distribution lorsqu’on s’approche des chiffres ronds, de telle sorte que le nombre de coureurs complétant en 3h59, par exemple, est largement plus grand que ceux complétant en 4h01.

Cela est dû bien sûr au fait que les coureurs ont tendance à se fixer comme objectif un chiffre rond, et que l’atteinte de cet objectif vaut l’effort supplémentaire pour le réaliser, ce qui pousse les coureurs à redoubler d’efforts s’ils sont près d’atteindre un des magiques ‘chiffres ronds’.

L’article poursuit en effectuant un parallèle entre les coûts/bénéfices associés à d’autres décisions, telles la vente d’une maison, d’un placement ou les négociations salariales. L’attrait des objectifs tous ‘ronds’ étant parfois un obstacle aux prises de décisions rationnelles.

Mais là, on s’entend bien que courir une distance de 42.195 km n’a rien de vraiment rationnel de toute façon!

Laissez un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Vous pouvez utiliser ces marqueurs HTML et les attributs:

<a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <s> <strike> <strong>